Un ange en enfer Ouvert

Lorsque Sophia arriva dans les champs, il faisait jour, bien que le mot "jour" ne soit plus tellement un mot qualifiable pour décrire un ciel triste et sombre. Il n'était pas non plus très bien placé pour décrire un paysage désert ressemblant à un lieu de bataille. Aucun bruit ne vînt perturber ce lieu où le silence pesant et lourd règnait en maître. Il n'y avait pas de petit oiseau pour venir égayer ce champ qui n'avait pas du tout l'air d'un champ. Bref, s'il n'y avait pas eu la présence de Sophia, le champ aurait presque paru être une petite partie de l'enfer. La jeune femme contrastait tellement avec le paysage qu'elle paraissait presque illuminer les lieux. La terre était noire comme de la cendre alors que les vêtements de Sophia étaient blancs et comparé à ce paysaga macabre, on aurait presque pu croire qu'ils apportaient un peu de lumière. D'un pas souple et gracieux, Sophia marchait à travers le champ. Mais marchait-elle vraiment ou était-elle en train de glisser sur le sol poussiéreux? Elle avait tellement de charme et tellement de grâce qu'elle donnait la sensation de flotter sur un petit nuage...

Mais voilà, contrairement aux apparences, Sophia n'était pas un ange. Ce n'était qu'une simple petite mortelle vivant dans un monde où la vie était en train de s'éteindre petit à petit. Mais n'importe qui portant du blanc sur soit aurait pu donner la sensation qu'il était l'envoyé de Dieu dans ce lieu si sinistre. Au bout de quelques temps, la jeune femme s'arrêta au beau milieu de nul part. C'était étrange de voir comme le champ paraissait vide et en y regardant de plus près, on put même se demander pourquoi ce lieu s'appelait "champ". Sophia regarda à l'horizon. Comme le monde avait bien changé... Autrefois, le ciel était bleu; aujourd'hui il était gris. Jadis les oiseaux chantaient, à présent le matin, lorsqu'on se levait, on avait la désagréable sensation d'être seul au monde. Oui, le monde avait tellement changé que Sophia se demandait si les gens arriveraient à revenir en arrière. Et puis, pour cela, il faudrait que tous le monde se mobilise, ce qui était loin d'être le cas. Des clans s'étaient formés et les guerres faisaient rages. Les humains ne se rendaient-ils pas compte qu'ils étaient en train de creuser leur propre tombe?

Sophia soupira mais son regard restait toujours aussi pur et doux malgré l'odeur qui règnait en ces lieux. Elle pensait que les gens ne prenaient pas assez conscience de ce qui était en train de se passer. C'était stupide. D'autres personnes comme elle voyaient le monde s'effondrer devant eux et essayaient d'ouvrir les yeux aux autres mais c'était peine perdue. La plupart des personnes étaient trop aveugles pour voir la vérité. Mais étaient-elles aveugles ou ne voulaient-elle pas supporter la dure réalité?
Sophia s'arrêta de marcher. Son père lui avait raconté que jadis, des jolies fleurs poussaient partout et que l'herbe était aussi verte que ses yeux. La jeune femme aurait bien voulu être née plus tôt pour voir tous cela. Mais en même temps, elle se demanda si elle aurait pu réellement prendre conscience de tous cela. En effet, c'était lorsqu'on avait tout perdu que l'on commençait à réaliser que ce que l'on possèdait était unique... Sophia s'était arrêtée de marcher pendant un instant, croyant entendre quelqu'un mais elle se dit que c'était sûrement son imaginationet reprit sa marche. Après tous, qui aurait l'audace de se promener dans un champ découvert où tous le monde pouvait nous voir?

Il est vrai qu'il était difficile de se cacher dans cette région désertique. Mais certaine personne possède des facultés qui leur permette de se camoufler dans n'importe quel environnement et pour se qui sagissait de laudasse, j'étais difficilement égalable. Je ne possédait certes pas le pouvoir de l'invisibilité mais lorsque on maîtrise la lumière et ses couleur on peut envoyé n'importe qu'elle image à la place de la sienne. Et c'est se que je faisait en se moment. Se paysage me dégoûtait non pas par son apparence, j'étais né sous ce ciel obscure et n'en connaissait pas d'autre, mais par se qu'il évoquait. Toute cette bêtise humaine responsable de se qui arrivait au monde et cette même bétise qui criait sur tout les toi avoir LA! solution. Et c'est nous, les kOkuzoKu, les innommables tueurs, vicieux traître et méchant. Cela me faisait rire intérieurement. Que l'humanité est donc bornée. On était responsable de se qui nous arrivait. Mais certaine personne ne voulait pas l'admettre et d'autre pauvre fou ne pensait qu'a prier pour leur âmes qui allait bientôt s'éteindre avec ce monde hideux.
Je reconnu très vite une de ses personne qui croyait que dieu était la solutions, ce dieu qui nous avait délaissé il y a déjà bien longtemps, ce dieu qui préfère ses pommes à ses créature. Je la reconnu oui mon père m'avais parlé de cette petite fille "Sophia".
Elle était l'héritière des Cheishas. Elle avait bien grandit et était devenu drôlement belle. Si cela n'allait pas contre la volonté de dieux je l'aurait bien renversée [rire]. Mais je doute qu'une femme comme elle me fasse confiance. Elle avait beau être belle et prier un dieux qui n'existait certainement plus, c'était sûrement une des humaine les moins bête et naïve de son clan.
Pour l'heur il était temps de tester sa fois.
Un rayon de lumière traversa le ciel et éclaira le visage de la femme. Et une voie retenti à son oreille:

"Sophia mon enfant! Tu est la fille du ciel! Je t'ai choisie pour ramener la lumière sur se monde éteint ou l'humanité ma oublier. Je t'ai choisi! Pour mener mon peuple, comme moïse la fait, vers la liberté et la clémence du ciel. Comme Noé il te faudra faire ton embarcation pour sauvé les bons de la destruction. Guide mon peuple, guide TON peuple vers sa liberté et guide le dans le droit chemin. Les jour obscure partiront bientôt! Je suis avec toi et je te t'aiderai. Lorsque tu sera fatigué cherche moi en toi, cherche ta fois et tu retrouvera le courage don tu as besoin. Car c'est toi que j'ai choisi, pour ton coeur, ta bonté, ta sagesse, ta générosité, pour ta fois..."

Le rayon de lumière s'éteint et j'apparus subitement à coté d'elle la bouche tout près de son oreille.

"...et pour ton joli cul!"

Sophia fut éblouïe par une lumière et une voix s'adressa à elle. Elle ne put s'empêcher de sourire en pensant qu'elle était toute seule dans ce vaste champ. D'une main, la jeune femme se protégea les yeux. Mais quelle était cette personne qui se permettait de faire semblant d'être Dieu? En effet, dès les premiers mots, Sophia su pertinemment que ce n'était pas Dieu qui s'adressait à elle car si c'était réellement Dieu, il aurait su que toute l'humanité ne l'avait pas encore oublié et qu'une partie encore des humains avaient foi en lui. Mais pour sa part, la chef du clan Chiesha n'avait jamais été vraiment une grande croyante jusqu'au point de devenir une fanatique. Elle était croyante, certes. Mais même si elle se levait à 5h pour aller prier, pour elle, ce n'était qu'une source qui lui permettait de rester forte. Elle pensait que pour réussir, il fallait croire en quelque chose.
Les derniers mots qu'elle entendit l'a fit rire. Elle se retourna afin de voir celui qui était en train de lui raconter toutes ses bêtises. Tout de suite, elle reconnu Jordan. C'était la première fois qu'elle s'adressait à lui mais elle l'avait tout de suite reconnu étant donné qu'on lui avait rapporté pas mal de choses sur lui:

"C'était très amusant."

Pas un mot de plus, pas un mot de moins. Sophia esquissa un joli sourire. Lui en voulait-elle? Non, pas du tout puisqu'elle le regardait avec ses yeux tendres. Mais inutile de s'imaginer des choses, la jeune femme regardait tous le monde ainsi. Elle ne jugea pas bon de se présenter. Après tous, elle savait son identité et Jordan savait sans doute le sien. Alors à quoi bon révéler son identité à part par politesse? Mais de toute façon, Sophia se disait que vu les circonstances, être poli serait assez mal placé, d'autant plus qu'il lui avait parlé de son "cul". Décidemment, la génération présente était devenue bien vulgaire et perdait son charme. Sophia trouva cela fort dommage mais elle ne pouvait rien y faire. Elle se demanda ensuite ce qu'une personne comme Jordan pouvait bien faire ici, et tout seul en plus. Mais en y repensant, était-il vraiment tout seul ou une bande de ses fidèles serviteurs étaient cachés quelque part? Sans le montrer, Sophia restait très méfiante mais méfiante, elle l'avait toujours été envers n'importe qui. Son regard doux était plongé dans celui de Jordan, cherchant un quelconque signe de trahison. Mais Sophia dut reconnaître que les gens qui lui avaient parlé de lui avaient bien raison. Il cachait bien son jeu et il était assez difficile de savoir ce qu'il pensait en ce moment même.

Amusant?? c'est tout ce qu'elle répondait? S'en était presque insultan. Je vennais de me foutre de la sale gueul de se soit disant dieux devant la chef du clan religieux, je l'avais commenté sur son cul, a elle qui étais sûrement encore préservée et tous se qu'elle trouvait à dire c'est que c'était amusant.
Je me reculais d'un pas et dis surpris:

"Amusant?? Tu n'est pas si bonne religieuse que ce que je pensait^^ après tout c'est pas plus mal."

Je mis une gentille clac sur le derrière de Sophia.

"Mais la remarque sur le (joli) cul était sincère^^... une question me tracasse."

je me m'était fasse à la jeune femme et la regardait d'un air soupsonneu:

"Tu t'es pas faché pour tout à l'heur tu devrai pas non plus te vexé maintenant... Tu t'es préservée???"

puis je me retournai:

"Sa maitonnerai avec un matos pareil..."

(HS: je fait pas plus j'ai un train a prendre)

[Pas de problème]

"Evite de me toucher la prochaine fois s'il te plaît. Je ne suis pas ta femme à qui tu peux tout te permettre." demanda-t-elle gentillement

Encore un sourire et Sophia pencha légèrement la tête de côté, comme si elle se demandait si la personne qui était en face d'elle était bien Jordan. Mais en réalité, la chef du clan Chiesha pensait que le jeune homme était beaucoup trop bavard à son goût et qu'il racontait n'importe quoi. Mais à quoi jouait-il? Qu'est-ce qu'il lui voulait? L'embêter? Si c'était le cas, il avait dû se rendre compte que Sophia n'était nullement touchée par ses paroles. Elle avait juste l'air un peu étonnée qu'il lui fasse certaines remarques et la questionna sur sa vie intime. La jeune femme se demandait ce qu'il pourrait faire avec cette information si futile. Avait-il l'intention de lui faire quelque chose de tellement immonde qu'elle ne pourrait jamais s'en remettre? A l'entendre, Sophia croyait qu'il la considérait comme une jeune femme qui aurait pu exceller dans le domaine de la prostitution mais qui avait préféré s'enfermer dans une vieille église pour se remettre entièrement dans les mains de quelqu'un qui n'existait pas.

"Tu sais, mon clan n'est pas constitué que de religieux. Il y a aussi des philosophes et ceux-ci n'ont pas toujours les mêmes idées que tous les membres de mon clan. Chacun à son point de vue mais nous sommes tous tolérants envers les uns des autres. Mais à t'entendre parler, j'ai plutôt l'impression que tu me crois adepte à une secte et que je suis une fanatique..."

Sophia avait dit tous cela d'une douceur extrême. Toujours aussi calme, la jeune femme pouvait presque en devenir agaçante. On aurait dit que rien ne la gênait. Mais de plus, la jeune femme pensait que Jordan cherchait à la provoquer. Celui-ci devrait comprendre tôt ou tard que Sophia n'était pas du genre à s'emporter pour tous et n'importe quoi. Néanmoins, elle commençait réellement à se demander quelles étaient les intentions de ce jeune chef. Elle se doutait qu'il était venu la voir spécialement pour lui faire la cour et si cela avait été le cas, elle dut admettre qu'il n'était pas réellement doué... pour ne pas dire pas du tout... elle pensa donc que Jordan avait une idée derrière la tête. D'ailleurs, quand un chef venait discuter avec un autre, c'était rarement pour lui dire bonjour, surtout de nos jours où tous le monde se battait avec tous le monde. Et même si le clan Chiesha était pacifique, il ne laissait pas n'importe qui entrer sans une raison valable. Ce clan n'accueillait pas tous le monde à bras ouvert. le monde avait beaucoup changé et il fallait se montrer méfiant envers les autres sous peine de provoquer quelques désagréments:

"Pourquoi me demandes-tu si je suis préservée? Il me semble que la réponse est déjà clairement affichée non?"

Je n'avais que faire des justification de Sophia a propos de son clan
et je du me retenir de rire lorsque elle me demanda de ne pas la toucher la prochaine fois.

"Excuse moi mais je ne peux nier que c'est très tentant"

Cette femme ne semblait même pas se rendre conte en face de qui elle était et de se qu'il pouvait lui ariver. Lorsque elle me répondi je la regardait de travers puis maproché d'elle avant de regarder son fron. son visage était bien fait et décidément elle n'avait vraiment pas à se complexer.

"Clairement affiché... c'est pas écris sur ton front que je sache... mais si tu veux pas me le dire j'ai un moyen radical pour en être tout a fait sûr..."

je ne continuais pas ma phrase. Elle devais être assé intelligente pour comprendre et si quelquechose lui échapait j'aurais très vite fait de lui faire comprendre. Le soir s'approchai et une ouce brise s'était levée faisant flotter mes cheveux dans l'air. Bizarement tout mes sens était en alerte et je me demandait tout de même pourquoi

Sophia ne répondit pas tout de suite. Elle leva la tête et observa le ciel. La nuit commençait et une douce brise s'élevait dans les airs. La jeune femme songea qu'il serait raisonnable de rentrer maintenant. Elle redéposa ensuite son regard neutre sur Jordan. A quoi jouait-t-il? Ne pouvait-il pas s'occuper de ses affaires? De gros nuages s'installèrent dans le ciel...

"Pourquoi tiens-tu à savoir cela?" demanda-t-elle gentillement avant qu'une fine petite pluie tomba sur eux
"Nous ferions mieux de rentrer chez nous..."

Mais après avoir dit cela, Sophia ne tourna pas le dos à Jordan. Elle n'aimait pas que l'on s'attaque à elle de dos. Elle attendit alors sa réponse mais quelque chose lui disait qu'il allait la forcer à rester ici. Elle songea alors qu'elle n'aurait pas dû venir ici. Mais lorsqu'elle pensa à cela, elle se dit que de toute façon, il n'y avait plus d'endroit où aller où l'on pouvait être sûr d'être en sécurité...

Lorsque elle me demanda pour qu'elle raison je lui pausais toutes ces questions je changeai complettement d'attitude et lui souris en plaquant sur le coté une méche de cheveux qui volait devant mes yeux.

"Toute ses questions ne me concerne guère et elle ne m'avancerons pas plus que sa. Mais n'est-ce pas une preuve que toute les vértus de se bas monde ne sont point morte? Si la curiositer survit à cete guerre pourquoi pas d'autre?"

Je laissai échaper un rire, mais un rire qui n'avait rien de méchant. Il tait preque mical et chaleureux.

"tu doit t dire que j'ai un esprit sacrément tordu^^"

je levais une main vers elle en signe d'invittion

"ne tinquiette pas les raison de ma venue ici ne sont nullement guerrière et je n'attenterai ni à ta vie, ni à ta virginiter puisque tu semble vouloire dire que tu l'es toujours."

une bourasque de vent fi tournoyer mes cheveut dans l'air et fit flotter la robe de la jeune femme

"du moin pas pour le moment^^ mais tu a raison il est temps de rentrer avant que le temps ne se gate... et je te raccompagne."

Mes derniers mot avaient été dit sans dureté et mon visage affichait un grand sourire mais qulque chose fesait sentire que se n'était pas une question ni une proposition.
Ma main toujours tendu vers elle j'attandais qu'elle la prennent. Mon regard était planté dans le sien alors que le vent de plus en plus violent qui faisait flotter mes cheveux et la robe de la femme ammenait de lourd nuage noire anonciateur d'un de ses orages violent et de ses pluie acides du aux perpétuelles poisons présent dans l'air.

Elle n'avait pas encore pris ma main qu'un éclaire stria le ciel tout proche de nous de sa lumière aveuglante.
Je ne bougeais pas. Mon visages laissait entendre ma détermination et que je ne bougerai pas avant qu'elle ait pris ma main d'elle même. Alors une grosse goute tomba sur ma main tendu. Lentement l'eau froide glissa sur ma peau laissant une marque humide derrière elle. Elle glissa jusqu'au creu de ma main ou elle si imoblisa brillant d'un doux éclat.
Alors que nous restion immobile l'un en face de l'autre d'autre goute la suivire commençant à laisser de grosse tache humide sur la robe de la femme et a mouiller mes cheveux.

"On ferait mieux de se dépécher..."

*a moin que tu veuilles que ta robe soit vraiment transparente...*

» Un solitaire sur les lieux...*Ouvert*
» Enfin une bonne douche... [ouvert]

Un ange en enfer *Ouvert*

Un ange en enfer Ouvert